mardi 13 avril 2010

Mon pain quotidien

Bonjour à tous (et oui, formule répétitive, mais vous qui visitez mon blog, je vous dois bien un salut quotidien !),


Avant toute chose, ne vous méprenez pas, toutes les photos ont été prises ce week end, et témoignent d'un ciel dégagé et ensoleillé qui a malheureusement laissé place à un crachin continu, signe que je pourrai bientôt vous faire le reportage promis sur la "coulée verte"... (les fidèles du blogs comprendrons, et pour les autres, il faut lire les messages précédents).

Aujourd'hui, ça ne mange pas de pain, je vais vous retracer une partie du trajet qui me mène de ma studette au CEM, du CEM à la cathédrale St Étienne - où j'ai pas mal de pain sur la planche en ce moment - puis de la cathédrale à la cantine, où m'attend mon pain quotidien.


Saut du lit (au passage, petite visite de ma "studette")...



Je check mes mails (que d'anglicismes !)...



Je bois le thé en mangeant des petits gâteaux (vous êtes bien contents de le savoir, hein ? C'est fou ce que l'on peut manifester un intérêt curieux pour la vie quotidienne des autres ;-) )




À peine arrivée au Centre d'Études Médiévales, il faut mettre les voiles vers la cathédrales, les mains pleines de papiers en tous genres. On passe alors devant l'atelier du doreur de la rue Cochois qui n'est pour ainsi dire, jamais ouvert.



Toujours dans la même rue, un bon tuyau : pour une bouchée de pain, vous pourrez passer un coup de fil ici.



Maison de François de Dinteville, évêque d'Auxerre de 1530 à 1551. Cette date marque d'ailleurs le terminus ante quem de la construction du portail de cette demeure.



Et oui, ce trajet est long comme un jour sans pain... alors, pour vous un peu d'eau fraîche (je vous laisse le soin de trouver l'amour).



Devant la cathédrale, ce joli palais épiscopal (y'en a qui s'en font pas : la préfecture y a élu demeure, et les Monuments Historiques financent d'ailleurs une grande campagne de travaux de réhabilitation...).



Nous voilà (enfin) arrivés à destination : la cantine (ancienne école communale des garçons), et comme vous vous en rendez compte, on y entre pas comme dans un moulin.

Fini pour aujourd'hui, mais je n'ai pas mangé tout mon pain blanc, alors à demain pour de nouvelles aventures (promis, il y aura quelque chose de plus original). Et pour ce soir, je vous souhaite ... du pain et des jeux !

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